L’œuvre pour piano de Ravel, relativement courte, se laisse facilement cerner dans sa globalité. La travailler en entier m’a permis de la définir, de l’opposer même encore plus clairement à celle de Debussy, la conception du temps de ces deux compositeurs étant tellement différente.
Vous appuyez-vous sur les orchestrations ?
On peut classer les pianistes ravéliens en deux tendances : ceux qui jouent “piano” et ceux qui jouent “orchestre”. Je crois qu’il serait vraiment dommage de se priver des précieuses indications que donnent les orchestrations de Ravel.- Si vous êtes abonné, identifiez-vous
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