Si l’œuvre pour piano de Chopin exerce toujours autant de fascination sur les mélomanes et demeure une ressource inépuisable pour les pianistes – quoique l’on puisse encore découvrir certaines pièces assez méconnues (1) –, sa musique de chambre, si ce n’est la Sonate pour violoncelle et piano op. 65, reste un domaine à explorer.
Quatre mains et deux pianos
De nombreux témoignages attestent que Chopin, dès son enfance et jusqu’à la fin de sa vie, aimait et pratiquait le jeu à quatre mains ou à deux pianos. « Babiller à quatre mains » était pour lui un plaisir extraordinaire qu’il cultivait avec quelques amis, amateurs éclairés ou élèves. On relève également parmi ses partenaires, outre les noms de Moscheles ou de Liszt, qui reviennent souvent, ceux de musiciens célèbres de leur vivant comme Alexandre Rembielinski, Klinghor (maître de musique du prince Antoni Radziwill), Karl Schuncke ou Amédée Méreaux.- Si vous êtes abonné, identifiez-vous
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