On peut étudier les Lieder ohne Worte de diverses manières : y voir, par exemple, un résumé de l’esthétique mendelssohnienne, un bréviaire des modes d’expression du classicisme romantique allemand, ou encore un réservoir riche en formules plaisantes où viendront puiser les compositeurs ultérieurs. Il serait intéressant de relever tous les musiciens, grands ou mineurs, qui, à la suite de Mendelssohn, ont composé à leur tour des “Romances sans paroles” sur des patrons mendelssohniens.
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