En dehors des Clairs de lune, Abel Decaux n’a pratiquement rien écrit. Mais cette œuvre de génie suffit à le classer parmi les plus grands : d’une écriture très en avance sur l’époque, ce cycle pour piano anticipe certains procédés systématisés plus tard par l’Ecole de Vienne. Ainsi Decaux put-il mériter le surnom de : Schoenberg français.
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