A plusieurs reprises, au cours de ses conversations avec son maître de chapelle, qui n’était autre qu’Eugène Ysaye, la reine Elisabeth de Belgique avait exprimé le vœu d’aider les jeunes artistes encore inconnus et qui devaient lutter durement pour imposer leur nom au public. Ce projet généreux eut un début d’exécution en 1929, grâce à la création de la Fondation musicale Reine-Elisabeth (aujourd’hui disparue) dont Eugène Ysaye était le président. Ysaye souhaitait ardemment la création d’un concours de violon, qui serait appuyé par la Fondation.
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