Comment parler de ce chef-d’œuvre qui évoque la faiblesse fondamentale de l’homme face à la vie, la fragilité de son bonheur et, pour les croyants comme Jean-Sébastien Bach, la consolation qu’il peut chercher dans la foi ? La version pour piano qu’en réalisa la pianiste britannique Dame Myra Hess est particulièrement émouvante. Si elle a séduit nombre de concertistes qui aiment à la jouer en bis, elle reste accessible au pianiste amateur.
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