Au Conservatoire, il rencontre Albéric Magnard qu’il accompagnera jusqu’à la fin tragique de ce dernier, tous deux étant issus de l’école franckiste, et restant liés par la plus belle amitié, mais aussi par un idéal artistique commun. Ils se sont d’abord engagés dans les voies classiques de l’idéal beethovénien, mais Ropartz finira par s’en écarter, alors que Magnard demeurera plus fidèle à l’esprit de l’auteur de Fidelio. Après la mort de Magnard, en 1914, Ropartz réorchestra la tragédie en musique de ce dernier, Guercœur, dont la partition avait été en partie détruite dans l’incendie de sa maison.
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