Robert Schumann, Johannes Brahms et Clara, variations en trio
« Et il est venu… Il s’appelle Johannes Brahms. Il porte tous les signes qui annoncent l’élu… A peine assis au piano, il nous entraîne dans des régions merveilleuses. » Ainsi écrivait Robert Schumann, à l’arrivée, dans son couple, d’un génie jeune et beau. L’énigme de ce triangle musical et amoureux reste entière… amour et amitié, musique et silence. Michel Schneider nous dévoile ces troublantes variations à trois, comme « un roman un peu bourgeois », mais que la musique — et la folie — transcende.